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Reception de la pièce en 1950
- critiques
- Attente déçue d'une convention théâtrale traditionnelle
- mise à mal volontairz de toutes ces représentations conventionnelles
- intentions parodiques
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Lire
- Article paru dans Le Figaro du 13 mai 1950.docx
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LE TITRE
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La Cantatrice chauve
- La pièce, à l'origine, s'intitulait L'Anglais sans peine : Ionesco et la méthode Assimil
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Le titre d'une oeuvre évoque bien souvent la figure centrale de l'œuvre : Dom Juan, Bérénice, Antigone . Le titre, en somme, est déjà, au théâtre comme dans un roman, tout un programme. Le titre donne des indications sur le contenu. là, pas du tout.
- Ce personnage de la cantatrice est évoqué une seule fois, au détour d'une réplique, à la scène XI et qu'ensuite il n'en est plus question. caractère hasardeux du titre, sans lien avec le sujet de la pièce, cette apparition éclair d'un personnage qu'on s'attendrait à voir placé au centre de l'intrigue, ne fera que renforcer l'aspect déroutant de cette première approche.
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le sous-titre de la pièce: anti-pièce
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Qu'est-ce qu'une anti-pièce ?
- citation de Ionesco : « Il me semble parfois que je me suis mis à écrire du théâtre parce que je le détestais. » (Notes et contre-notes) Doit émerger ici cette idée que le théâtre de l'auteur se construit contre le théâtre traditionnel, classique. Pendant longtemps Ionesco considéra le théâtre comme un genre mineur, gêné qu'il était par son caractère artificiel et la grossièreté de ses effets dramatiques.
- Qu'est-ce qu'une pièce de théâtre qui se construit contre le théâtre ? « Cela était devenu alors une sorte de pièce ou une anti-pièce, c'est-à-dire une vraie parodie de pièce, une comédie de la comédie. » (Notes et contre-notes)
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THEATRE DE LA DERISION
- CC Theatre de la dérision.xmind
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PARODIE THEATRE CONVENTIONNEL
- CC parodie du théâtre conventionnel .xmind
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Comique et tragique
- Comique et tragique sont e des conventions, choisies par l’auteur d’abord, par le metteur en scène ensuite, mais chacun de ces deux genres a la même visée : remuer le spectateur et lui faire prendre conscience de la dimension dramatique et angoissante de son existence. Le monde de Gogol ou de Molière n’est pas moins angoissant que celui de Racine ; pire même, puisque le monde de l’absurde ne propose pas d’issue, pas de sens .
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MISE EN SCENE
- CC Mise en scène.xmind